Un numéro spécial de
la revue " Commando ", intitulé " Tir
de combat ", vient en effet de paraître en kiosque (27/08/2005).
Il reprend dans leur intégralité, et eux seulement, les 14 articles
écrits par Roland Habersetzer depuis un peu plus de deux ans déjà
dans un domaine où on a peu l'habitude de le voir évoluer …
Mais avec ces 80 pages, entièrement consacrées à son engagement
dans celui du tir de combat à l'arme de poing, il ne sera plus
possible de l'ignorer. Le Ho-jutsu, ou technique des armes à feu,
figurait bien autrefois dans le panel des arts martiaux japonais, dès
lors que les guerriers du pays du Soleil Levant eurent accès aux
arquebuses et pistolets à mèche introduits par les marins portugais
au XVIe siècle … Aussitôt élevé au rang
d'authentique Bujutsu, le Ho-jutsu eut même ses Kata ! Qui veut
encore le savoir aujourd'hui … ? En reprenant le Ho-jutsu
comme 3e domaine de compétence (à côté de celui de la
" main nue " et des " Kobudo "
classiques) d'une pratique intégrant l'ancien et le moderne (un
domaine cependant réservé aux pratiquants Budo avancés et
autorisés, et dans un cadre bien entendu strictement légal !),
le concept Budo créé par Shihan Habersetzer est par conséquent on
ne peut plus traditionnel dans l'esprit comme dans la lettre … !!
Ce numéro, à archiver par tous ceux qui suivent, même de loin,
l'effort pionnier (qui est aussi, finalement, celui d'un vrai retour
aux sources …) du Soké du " Tengu-no-michi ",
est un hommage à l'esprit de recherche de ce dernier et à sa
démarche de " Ronin " du siècle nouveau, ainsi
que la reconnaissance de qualités et de compétences qu'il déploie
également hors des Dojo classiques. Avec, toujours, un rare souci
éducatif. Ce magazine focalise ainsi également sur l'Institut Tengu,
cet " espace de pratique pour un nouveau concept de
protection personnelle ", qui fête cet automne son, déjà,
dixième anniversaire ! Belle concordance du calendrier …
Alors, si vous avez
manqué un chapitre, procurez vous vite ce numéro, feuilletez, lisez,
stockez dans votre Budobibliothèque. Car vous y reviendrez …